La mairie de Vert-le-Grand: une entreprise familiale

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Le conseil municipal de Vert-le-Grand compte deux élus de la famille SCHINTGEN.

Force est de constater qu'avant leur élection personne le les avait vu s'intéresser à la vie municipale ou associative de la commune.

Que savons-nous d'eux : d'abord que cet agriculteur a obtenu le permis de
construire de sa maison, dans un champ, tout près du ru de Misery, à la frontière entre Vert-le-Petit et Vert-le-Grand : rien à redire à cela sauf que, selon le code de l'urbanisme, il avait l'obligation de construire un hangar agricole, puisque le permis de construire lui a été accordé comme dépendance de son exploitation.

Or, à ce jour, plusieurs années après la construction de la maison il n'a toujours pas construit le fameux hangar !

Autre information : le maire vient de recruter la femme de cet élu au service urbanisme de la commune.

JC QUINTARD doit maintenant honorer ses engagements de campagne : à quel prix pour la commune ?

Après Madame CAUCHOIX (voir la lettre de soutien de son mari à JC QUINTARD) , Madame SCHINTGEN est elle aussi embauchée à la mairie (à un poste stratégique...)

Qui a parlé de copinage ?

Durant la campagne électorale nous avons bien vu l'intérêt du monde agricole a se mobiliser en faveur de JCQ : pour défendre la terre agricole et les paysages ou pour avoir un accès privilégié aux projets urbanistiques et bétonneurs du maire de Vert-le-Grand ? 

On peut se poser la question...

Grandvertois, restez très vigilants : petit à petit le puzzle se constitue. Vert-le-Grand n'ayant plus d'opposition au conseil municipal, la commune est aujourd'hui soumis à la loi de la meute.

Stéphane HUET